Premiers problèmes avec le revenu minimum: Valence dénonce les doublons en ne disposant pas de données du ministère

Actualisé

Samedi,
4
juillet
2020

08:36

La Generalitat sera obligée de procéder à une consultation massive avec les bénéficiaires du revenu de Valence pour déduire ce qui est indûment facturé

Vice-président M

Vice-président Mnica Oltra, lors d'une conférence de presse.

EFE
  • Subvention.

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Fin mai, quelques mots du ministre de la Sécurité sociale, de l'Inclusion et des Migrations, Jos Luis Escriv, ont déclenché une tempête de poussière dans la Communauté de Valence. La tempête politique a éclaté en raison de la refus du ministre de cogérer avec le gouvernement de Valence le nouveau revenu minimum vital. Cela a été affirmé par le vice-président du Consell et ministre de l'égalité et des politiques inclusives, Mnica Oltra, comme le ministère l'a accepté avec Pas Vasco et Navarra. Escriv est venu répondre qu'il ne voit pas le Consell capable de gérer efficacement les aides d'État.

La réalité, lorsque seulement des semaines se sont écoulées depuis l'implantation du revenu vital minimum, est que les bénéficiaires de ce revenu minimum ont déjà été détectés, qui, en outre, collectaient déjà les Revenu valencien pour l'inclusion. Cette aide lancée il y a quelques années par l'exécutif de Ximo Puig – et gérée par le ministère de l'Oltra – ne doit pas chevaucher une aide d'État. En d'autres termes, les deux subventions sont incompatibles, de sorte que celui qui perçoit le revenu minimum viager ne peut pas simultanément recevoir le revenu valencien d'inclusion.

Malgré cette incompatibilité, Oltra a signalé que son service avait déjà détecté des doublons, sans toutefois en préciser le nombre exact. La raison est simple: le ministère et le ministère ne partagent pas les données sur les bénéficiaires, comme Oltra l'a elle-même admis. En fait, lors d'une récente rencontre avec le ministre, cette question a été abordée avec précision, et les deux ministères conviennent de la nécessité de faire avancer le partage des données précisément pour éviter les collectes irrégulières d'aide.

Pour le moment, pour commencer à résoudre le problème, la Generalitat sera obligée de procéder à une consultation massive des bénéficiaires qu'il a dans le système, tandis que l'Institut national de la sécurité sociale communiquera quelles personnes ont le revenu minimum de vie et pour combien, pour procéder à la soustraction du montant indûment facturé.

Au lieu d’essayer de faire signer aux 54 000 bénéficiaires une autorisation expresse de transfert de données, ce qui prendrait du temps et serait inefficace, nous nous obligation de demander le revenu minimum, puis ils seront soustraits, a expliqué Oltra.

En tout cas, le vice-président du Consell reconnaît que le chevauchement des deux subventions se poursuivra au cours des prochains mois. Selon Oltra, en raison de la nature rétroactive du décret-loi, mais elle a expliqué que chaque mois, les personnes qui adhèrent au revenu minimum de vie seront mises à jour pour les soustraire du revenu de revenu valencien. Au final, cela se traduira par des économies importantes pour les coffres de la Generalitat, qui alloue actuellement plus de 229 millions d'euros à ce chapitre. Ou, à défaut, la possibilité d'augmenter le nombre de bénéficiaires qui jusqu'à présent n'ont pas été couverts par l'aide valencienne.

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