Pedro Snchez étudie la modification de la loi pour renouveler le pouvoir judiciaire sans le PP

Vendredi,
deux
octobre
2020

17:07

Le président assure que la majorité absolue du Congrès et de l'exécutif doivent chercher une "issue" pour mettre à jour le CGPJ

Le président du gouvernement, Pedro S

Le président du gouvernement, Pedro Snchez, ce vendredi lors d'une conférence de presse après le sommet extraordinaire de l'UE qui s'est tenu à Bruxelles.

Horst Wagner EFE

Aujourd’hui, le gouvernement a ajouté une nouvelle question aux nouvelles politiques épaisses en Espagne. Au milieu de la plus grande crise sanitaire que traverse ce pays, et sans cesse d'émerger de nouveaux fronts – pardons, réforme du crime de sédition, loi de mémoire démocratique – le directeur général, Pedro Sánchez, a plaidé aujourd'hui à Bruxelles pour une réforme juridique qui permet de contourner le PP dans le renouvellement du CGPJ. "Si le principal parti d'opposition à chaque fois qu'il perd les élections bloque jusqu'à ce qu'il remporte à nouveau les élections, je comprends que le législateur devra prendre une décision", a-t-il assuré.

En ce sens, il a insisté sur le fait que "la majorité absolue" du Congrès et de l'Exécutif "devra céder la place et renouveler" cette institution. Bien que différentes informations, dont THE PAS, évoquent cette possibilité de modifier la loi organique du Conseil de la magistrature, c'est la première fois que le directeur général y fait référence.

Cela pourrait signifier promouvoir un changement du système actuel, dans lequel les membres du CGPJ sont élus à la majorité qualifiée des trois cinquièmes des chambres, pour réduire cette majorité. Lundi dernier, le ministre de la Justice, Juan Carlos Campo, a évoqué d'éventuelles modifications mais les a limitées à "la revendication judiciaire d'une plus grande légitimité".

A cette époque, la carrière judiciaire, a-t-il expliqué, transfère un paquet de noms, 40 ou 50, aux Tables du Congrès et du Sénat, et parmi eux les 12 membres sont choisis. "" On peut lui donner un tour pour renforcer cette idée. ", a-t-il dit, avec des propositions telles que la réduction du nombre de juges pouvant accéder à la Chambre ou la création d'une commission Congrès-Sénat pour évaluer les différents programmes.

Mais surtout, il a fait valoir que les pouvoirs du CGPJ devraient être «dévalués» une fois son mandat expiré, une sorte de «gouvernement agissant». «C'est une réflexion qui doit se faire avec sérénité», a-t-il assuré.

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