Le leader du PP espère, malgré tout, que les 27 pourront parvenir aujourd'hui à un bon accord pour la reconstruction de l'économie
"Avec le gouvernement PP, Espagne Elle s'est sauvée et a évité l'intervention de l'UE avec des réformes structurelles. "En ces termes, le chef de la populaire, Pablo Casado, a inauguré le traditionnel parcours d'été du match en El Escorial, accompagné du vice-président de BCE et l'ancien ministre de l'économie, Luis de Guindos. Une inauguration que Casado a centrée sur les négociations en cours en Bruxelles pour tenter de débloquer un fonds de plusieurs millions de dollars qui promeut la reconstruction économique après Covid-19 et que, selon lui, Pedro Snchez a entrepris "sans les devoirs".
Malgré cela, le chef de l'opposition s'est dit convaincu qu'aujourd'hui il y a "un bon accord" pour Espagne et il est possible «de sortir d'une récession engendrée par la mauvaise politique des deux dernières années, bien aggravée par la pandémie».
Casado a regretté que le gouvernement de Pedro Snchez soit parvenu à la négociation "sans crédibilité, sans solvabilité, avec la dissimulation des déficits et le gaspillage des vendredis électoraux, en plus de la menace d'abroger certaines réformes qui ont permis à l'Espagne de se développer".
Pour cette raison, il a exhorté le président à "se laisser aider la prochaine fois" et s'est plaint de ne même pas l'avoir informé des progrès réalisés. Casado a également critiqué le fait que le gouvernement ait choisi de désigner certains partenaires de l'UE comme paradis fiscaux.
Dans tous les cas, le leader du PP a assuré qu'il voulait être proactif et a demandé à l'exécutif des «réformes», à savoir: une baisse des impôts; maintenir la réforme du travail; diminution des cotisations sociales; forfait pour les indépendants; une loi entrepreneuriale; l'allégement des charges bureaucratiques; promouvoir la double formation et le bilinguisme ainsi que la participation des entreprises aux opportunités de carrière; une bonne négociation de la PAC et un puissant plan d'industrialisation abaissant les coûts énergétiques, tout en équilibrant le solde du compte courant.
De son côté, le vice-président de la BCE, Luis de Guindos, a dessiné un L'Europe frappé par un "choc sans précédent" avec une baisse qui, selon lui, représente 9% du PIB. Les prévisions pour le reste de l'année dépendent dans une large mesure non seulement des épidémies possibles, mais aussi de l'évolution du marché du travail. A la BCE, ils estiment que le nombre d'heures travaillées se situe entre 10 et 13%, ce qui a un impact profond sur la consommation.
Aux troisième et quatrième trimestres, a-t-il assuré, "nous assisterons à une reprise incomplète et inégale" selon les secteurs et les pays. De Guindos a parlé d '"énormes incertitudes" et a opté pour une politique de garanties publiques afin que les banques puissent fournir des liquidités tout en encourageant Erte à essayer de préserver au maximum l'emploi. Lui aussi voulait faire preuve d'optimisme quant à la conclusion d'un accord Conseil européen et il a demandé aux pays, dont l'Espagne, "d'être prévisibles et de ne pas générer d'incertitudes".
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