Pablo Casado exige de Snchez la "cessation immédiate" d'Alberto Garzn et le rejet de Pablo Iglesias pour les attaques contre le roi

samedi
26
septembre
2020

13:03

Pablo Casado, mon

Pablo Casado, mercredi, aux portes du Congrès des députés.

Emilio Naranjo EFE
  • Gouvernement.

    Pablo Iglesias et Alberto Garzn accusent le roi de briser sa "neutralité politique" et de "manoeuvrer contre le gouvernement"

  • Livraison des dépêches.

    Cérémonie à Barcelone. Le ministre de la Justice, après le cri de «Vive le roi» des nouveaux juges: «Trois montagnes sont passées»

Le chef du Parti populaire, Pablo Casado, a exigé ce vendredi que le président de l'exécutif, Pedro Snchez, réprouve le deuxième vice-président, Pablo Iglesias, et limoge "immédiatement" le ministre de la Consommation, Alberto Garzn, pour ses attaques "intolérables". au roi.

"Si Sanchez ne désavoue pas immédiatement son vice-président et ses ministres, il sera responsable de la crise institutionnelle la plus grave de notre histoire récente", a averti Casado après la demande de neutralité adressée au monarque par les dirigeants de United We Can et de United Left.

Dans un message sur son compte Twitter personnel, le président du "populaire" a souligné que "les attaques du gouvernement contre le roi sont intolérables" et a averti que le PP agira "fermement contre cette subversion de l'ordre constitutionnel".

Garzn a qualifié la position de la monarchie de "non viable", qu'il reproche de ne pas avoir respecté le principe de neutralité établi par la Constitution et de manoeuvrer "contre le gouvernement démocratiquement élu" en référence à l'absence controversée du roi Felipe VI de l'acte de remise dépêches aux nouveaux juges détenus à Barcelone.

Le monarque lui-même a téléphoné au président du Conseil général de la magistrature (CGPJ) et de la Cour suprême, Carlos Lesmes, pour l'informer qu'il «aurait aimé» l'accompagner sur place.

De son côté, le chef de Podemos a exigé un "respect institutionnel" du monarque, ce qui "signifie la neutralité politique du chef de l'Etat" et a rappelé que l'article 1.2 de la Constitution stipule que "la souveraineté appartient au peuple espagnol du que tous les pouvoirs de l’État émanent ».

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