Les employeurs avaient contesté le décret de fermeture de la Generalitat pour les dommages économiques au secteur
La Chambre du contentieux administratif de la Cour supérieure de justice de Catalogne (TSJC) a rejeté les demandes de la Fédération catalane des associations de restauration et d'activités musicales et de la Fédération catalane des lieux de vie nocturne Fecalon contre le décret de la Generalitat de prolonger pour quinze jours de plus la fermeture de toutes les discothèques et bars à musique pour éviter la contagion de la pandémie de coronavirus.
La résolution considère que la demande urgente des employeurs d'ouvrir les discothèques est "inclinée sur le plan économique" et ne justifie donc pas la mesure de précaution si l'on prend en compte "les effets des décès et de la contamination latente actuellement" par le maladie. Ainsi, le tribunal estime qu'il doit peser la demande entre les intérêts économiques et l'alerte sanitaire pour le risque de contagion.
Pour cette raison, il indique qu '<< il faut réaffirmer que cette cour n'ignorera pas la pertinence substantielle de la << pandémie internationale >> concurrente reconnue par l'Organisation mondiale de la santé le 11 mars 2020, la portée territoriale sensible de la résolution contestée et en situation particulière pouvant correspondre aux établissements présentés par le plaignant ou des tiers pouvant bénéficier de la mise en garde "des employeurs.
Dans un communiqué, Fecasarm regrette que la cour n'ait pas répondu à leurs arguments puisqu'ils ont non seulement rappelé les 40 000 emplois mais aussi souligné que les discothèques ont 50% de la capacité autorisée et qu'il n'y a pas de pistes de danse, donc elles sont de l'espace " Assurance ".
En outre, ils rappellent avoir demandé des limitations pour ordonner la fermeture des lieux de divertissement en plus de souligner que seulement 6% des infections signalées dans toute l'Espagne se sont produites dans des discothèques. La Fecasarm estime que «la suspension» de l'extension de fermeture de la Generalitat était «très urgente étant donné que la viabilité économique de 80% des discothèques de Catalogne est en jeu».
Selon les critères de
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Sabine, fondatrice de Cakes Paradise, est diplômée en arts culinaires avec une spécialisation en pâtisserie d’une prestigieuse école hôtelière. Passionnée par l’idée de rendre la cuisine accessible et amusante pour tous, elle a lancé son site pour partager des recettes simples et savoureuses, adaptées aux rythmes de vie modernes.