Le juge décrète la prison provisoire communiquée pour le détenu pour la disparition de Manuela Chavero

Lundi,
vingt et un
septembre
2020

00:53

Le juge a inculpé le détenu, un voisin de la victime, des crimes présumés de détention illégale et d'homicide. L'enquête est toujours ouverte et le secret express du résumé a été décrété

GRAF7992. ZAFRA (BADAJOZ) .- Agents de la Garde civile de Zafra ...

Des agents de la Garde civile de Zafra (Badajoz) escortent l'auteur avoué de la mort de Manuela Chavero, à son arrivée aux tribunaux après avoir participé à la reconstitution des événements chez lui.
GLORIA CASARES EFE

Le tribunal de première instance et d'instruction numéro 1 de Zafra (Badajoz) a décrété ce soir derisin provisoire communiqué et sans caution pour Eugenio Delgado, 28 ans, le seul arrêté pour la disparition de Manuela Chavero (42 ans), la voisine de Monesterio (Badajoz) qui a disparu sans laisser de trace au petit matin du 4 au 5 juillet 2016.

Le juge impute au détenu, voisin de la victime, les crimes allégués de détention illégale et homicide.

L'enquête est toujours ouverte et le exprimer le secret du résumé.

La Garde civile l'a détenu jeudi soir dernier, 17 septembre, et ce dimanche, il a été traduit en justice, où il a été déclarant pendant un peu plus de quatre heures devant le juge, après avoir achevé, en deux phases, le processus de reconstruction des événements au domicile du détenu, où Manuela serait décédée.

Manuel Delgado a assuré dans sa première déclaration devant la Garde civile que la femme s'est accidentellement frappée mourant sur place, puis il a eu peur et a déplacé le corps dans l'un de ses trois domaines et l'a enterré.

Il n'est pas exclu que dans les prochaines heures il y aura une nouvelle fouille au domicile du prévenu et la ferme où le défendeur a creusé et enterré le corps de Manoli sera également réexaminée. De plus, ce dimanche, les agents ont pris le véhicule que Manuel Delgado avait garé dans sa maison unifamiliale, où il vit seul, en particulier un Land Rover Discovery 4×4, pour tenter de trouver plus d'indices sur l'affaire. Il est également considéré comme essentiel vérifier les agressions sexuelles la victime avant sa mort.

Comme l'a rapporté ELMUNDO.ES ce dimanche, l'arrestation du principal suspect de l'affaire ces derniers temps a été précipitée jeudi après-midi lors de leur rencontre. son intention de quitter l'Estrémadure, où apparemment il avait prévu de rendre visite à sa sœur, ou peut-être même de fuir car la pression émotionnelle que la Garde civile avait exercée contre lui ces dernières semaines s'était multipliée. C'est alors qu'il fut arrêté au manège municipal où cet éleveur avait l'habitude de monter à cheval.

Avant, le 27 août, l'UCO faisait une nouvelle apparition surprise à Monesterio, à nouveau pour fouiller la maison de Manuela (elle l'avait déjà fait presque 20 fois depuis sa disparition), avec une belle mise en scène avec le l'intention de serrez la clôture et rendez-le nerveux. Une lettre anonyme présumée qu'Emilia, l'une des sœurs de Manoli, a reçue a également été rendue publique, dans laquelle il a été désigné directement comme le principal responsable de la mort de la femme, âgée de 42 ans, et avec deux enfants, qui au moment du décès l'événement a été séparé.

Peu de temps après la disparition, Eugenio Delgado changé la sellerie de sa voiture, Selon un voisin dénoncé à la Garde civile elle-même, il est également apparu dans la ville avec le bras droit blessé, ce qu'il a attribué à un accident avec des animaux dans l'une de ses fermes. De plus, lorsqu'il a été interrogé par la garde civile, il a allégué que le jour de la disparition de Manuela, il se trouvait sur la plage., un alibi à démanteler peu de temps après parce que les agents ont confirmé qu'il avait quitté Monesterio mais quelques jours avant, pas le jour de l'événement.

De plus, lors de ces interrogatoires devant les enquêteurs, même essayé de piéger un autre des suspects, un autre jeune homme qui avait eu une relation avec la victime. En effet, jusqu'à trois véhicules appartenant à la famille de cet autre jeune homme ont été saisis pour leur analyse exhaustive à la recherche de preuves le 1er février 2017, sans résultats positifs, dans une maison également proche des disparus et désormais détenu, le Rue Cerezo.

L'auteur a avoué la mort de Manuela Chavero, présente à la reconstitution des événements

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