Ils dénoncent les pratiques sataniques dans un ancien hospice de Teruel

Jeudi,
13
août
2020

17:43

Le Conseil provincial, propriétaire de la propriété, bloquera les entrées pour empêcher les entrées clandestines

Comandante Aguado de Teruel Home

La maison Comandante Aguado de Teruel, aujourd'hui
EM

La Maison de Charité de Teruel, un bâtiment de quatre étages d'une superficie d'environ 18000 mètres carrés, date du 18ème siècle et après la guerre civile, il a été renommé Accueil Comandante Aguado, c'est ainsi qu'on le connaît aujourd'hui.

Le Conseil provincial de Teruel, propriétaire de la propriété, l'a confiée au gouvernement espagnol pour installer le Musée national d'ethnographie.

Après avoir investi 13 millions d'euros, sur les 28 prévus dans le projet, le bâtiment a été restitué en 2018 au Conseil provincial après que le gouvernement de Jos Luis Rodriguez Zapatero a rejeté le projet du musée susmentionné.

Le retour de propriété du bâtiment s'est matérialisé à la demande de la Direction générale des Beaux-Arts et du Patrimoine culturel du Ministère de la Culture qui a estimé que, "après un examen de la situation et du contexte de ce projet, il a été considéré que le Musée devrait être rejetée car sa réalisation n'est actuellement pas viable d'un point de vue technique ou fonctionnel car elle nécessite un investissement très élevé tant pour son exécution que pour son ouverture et son activité ".

Le bâtiment est en désuétude depuis des décennies et présente une grave détérioration, ce qui augmente le risque d'accidents en cas d'entrée furtive.

Pour cette raison, le conseil général de Teruel a approuvé ce jeudi d'allouer une partie de l'excédent 2019 à la réalisation de travaux visant à empêcher l'entrée clandestine de jeunes.

Le président du Diputacin, Manuel Rando, a indiqué ce jeudi que, lors d'une inspection visant à vérifier la situation du bien, ils ont détecté pratiques "dangereuses" avec des «signes sataniques» marquant les itinéraires dans le bâtiment.

Les événements ont été signalés à la police nationale et à la garde civile et, bien que rien n'indique qu'il y ait eu des détenus, certains de ces jeunes ont été identifiés.

Dans des déclarations aux médias, Rando a précisé que, malgré le fait que l'accès à l'intérieur soit "très risqué", la présence occasionnelle de personnes pour mener des activités pouvant être "inquiétantes" est toujours détectée, danger aggravé par la risque d'accident dû à la dégradation du bâtiment.

Apparemment, les auteurs des rites mentionnés sont entrés par une fenêtre coulissant du toit d'un bâtiment voisin.

Le président du Conseil provincial a reconnu qu'il n'est pas prévu de réutiliser l'ancien hospice compte tenu de ses grandes dimensions et de «l'énorme investissement» qui serait nécessaire pour son adaptation à de nouveaux usages.

Selon les critères de

Le projet Trust

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