Castilla y Len, la Communauté valencienne, Castilla-La Mancha et l'Andalousie demandent au gouvernement de déclarer le «  couvre-feu ''

Jeudi,
22
octobre
2020

dix-sept heures

Les barons «  populaires '' conviennent que c'est une mesure qu'ils ne verront pas de mauvais yeux, tant qu'elle est promue par la Santé

Des étudiants du Colegio Mayor Oviedo, confinés à Salamanque.

Des étudiants du Colegio Mayor Oviedo, confinés à Salamanque.
J. M. Garca EFE

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    Andaluca propose d'imposer un couvre-feu à Grenade et étend les restrictions à Séville, Cordoue et Jan

Plusieurs communautés autonomes présenteront des demandes de couvre-feu lors de la réunion du Conseil interterritorial du système national de santé qui est célébré ce jeudi par télématique. Castilla y Len, Castilla-La Mancha, Communauté valencienne et Andalousie (pour Grenade) le demanderont au moins. La Communauté de Madrid a été la première à soulever le débat et a pu s'y joindre.

"J'ai demandé au gouvernement espagnol de déclarer un couvre-feu", a annoncé le président de Castilla y Len, Alfonso Fernndez Maueco. "Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre la bataille contre Covid-19. Nous devons continuer à prendre des décisions pour protéger la santé et la vie des gens", a-t-il justifié.

Il faut se rappeler que le ministre de la Santé, Vernica Casado, veine défendant que des mesures «intermédiaires» comme le couvre-feu peuvent avoir un «impact positif» dans la lutte contre la pandémie, notamment pour éviter de décréter l'état d'alarme.

«Nous allons également demander un couvre-feu cet après-midi», révèlent des sources du Gouvernement de Castilla-La Mancha. Mais ils ajoutent qu'ils ne le feront pas uniquement pour leur région, mais «pour toute l'Espagne». Emiliano Garca-Page n'a pas d'idée fermée et souhaite explorer des accords avec le reste des communautés autonomes pour déterminer le calendrier le plus efficace.

De plus, Grenade pourrait être la première ville andalouse, et espagnole, dans laquelle un couvre-feu nocturne est décrété pour tenter de contenir le coronavirus. Le gouvernement andalou a demandé l'approbation de la Cour supérieure de justice d'Andalousie restreindre autant que possible la mobilité dans la capitale de Grenade et dans sa zone métropolitaine entre 23h et 6h.

Le Conseil des gouverneurs a convenu ce jeudi d'étendre les restrictions déjà en vigueur à Grenade à trois autres capitales andalouses dans lesquelles l'évolution de la crise sanitaire est, selon les mots du ministre de la Présidence et porte-parole du gouvernement, Elas Bendodo, "très inquiétant". Il s'agit de Séville, Cordoue Oui Jan.

Le président de la Generalitat valencien, Ximo Puig, demande cet après-midi lors de la réunion du Conseil interterritorial l'application d'un couvre-feu dans toute la région autonome. En fait, bien que l'intention soit qu'il y ait un accord et qu'il soit appliqué de la même manière dans toutes les communautés autonomes, si cela ne se produit pas, demandez qu'il soit imposé dans la Communauté valencienne.

Le couvre-feu sera appliqué de 12 heures du soir à 6 heures du matin, entrera en vigueur «dès que possible» et se prolongera jusqu'au 9 décembre prochain. C'est ainsi que le président de la Consell aux agents sociaux, syndicats et employeurs, qui ont maintenu il y a quelques heures dans le Palau de la Generalitat, où passeront également les porte-parole des groupes politiques des Cortes valenciennes.

Oui Madrid? La secrétaire générale adjointe pour les politiques sociales du PP, Ana Pastor, a marqué la position nationale du populaire: "Nous exigeons que la ministre Illa, en tant qu'autorité sanitaire de notre pays, établisse des critères homogènes et clairs, basés sur des rapports techniques, pour répondre à la situation de la pandémie. Assez de regarder ailleurs."

Il convient de rappeler que le terme spécifique de "couvre-feu" n'est pas envisagé dans le système juridique espagnol, mais Constitution comme la Loi organique 4/1981, du 1er juin, des états d'alerte, d'exception ou de siège, envisagent la limitation ou la restriction des mouvements de population. Les experts constitutionnels expliquent que le terme couvre-feu est une expression familière, sans profondeur juridique, utilisée pour limiter les mouvements de population dans un certain créneau horaire.

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